Le décrochage scolaire dans les zones défavorisées
A noter qu’en général les zones défavorisées sont des zones affectées de handicaps socio-économiques où les gens sont soumis à des contraintes relativement difficiles à éviter, surtout en l’absence des soutiens et des aides compensatoires du gouvernement ou de certains organismes spécialisés. A cet effet, le risque de décrochage scolaire est imminent où les jeunes sont obligés de quitter l’école avant d’avoir décroché le diplôme marquant la fin de leur formation au niveau secondaire notamment.
Plusieurs sont en outre les causes et origines du décrochage scolaire dans les zones défavorisées, sans pour autant oublier que le décrochage scolaire existe également dans d’autres zones plus aisées.
L’origine sociale des élèves décrocheurs
En général, la délimitation des zones défavorisées est la commune dont certains indicateurs définissent l’image socio-économique de la plupart des gens. Il est manifeste que les origines sociales des élèves jouent un rôle dans la réussite scolaire et malheureusement dans le phénomène de décrochage scolaire dont la plus fatale est la catégorie socio-professionnelle des parents. Le décrochage scolaire est aussi fréquent chez les familles nombreuses, ce qui revient à dire que les jeunes touchés par le décrochage scolaire ont parfois rencontré un parcours de vie difficile. A noter néanmoins que le décrochage scolaire impacte la compétitivité de la commune, de la région et voire celle du pays.
Comment anticiper le décrochage scolaire
Afin de pouvoir prévenir le décrochage scolaire, les responsables en milieu scolaire, surtout dans les zones défavorisées doivent repérer ces élèves à risque. Il faut les suivre plus près en cas d’absentéisme, de retards fréquents, de non respects des disciplines, en cas de difficultés de communication et/ou de comportement. Ces repères ne sont qu’à titre indicatifs.
La liste n’est pas exhaustive. Ces élèves à risque de décrochage scolaire ont parfois des résultats scolaires inquiétants dont les bonnes relations entre les parents et les enseignants sont les meilleures solutions pour anticiper le pire, c’est-à-dire l’abandon. Il s’agit de bien gérer les angoisses qui hantent les jeunes. Ni les parents, ni les enseignants n’ont rien à gagner en cas de décrochage scolaire de ces élèves, il faut donc organiser un bon réseau relationnel entre ces deux entités, et dépasser les contraintes dans les zones défavorisées.